Cette chirurgie est généralement pratiquée sous anesthésie générale. Cependant, dans certains cas, une anesthésie locale approfondie par des sédatifs est possible. Le choix entre ces différentes techniques sera discuté entre vous, le chirurgien et l'anesthésiste.
Aucune hospitalisation n'est nécessairement requise. Toutefois, en fonction de certaines contraintes, une courte hospitalisation peut être préférable.
Il faut néanmoins connaître les complications possibles : saignements, possibles les premières heures mais qui restent le plus souvent très modérés. Lorsqu'ils sont trop importants cela peut justifier un conditionnement (nouveaux pansements dans les narines). Les hématomes peuvent nécessiter une évacuation s'ils sont volumineux ou trop douloureux. Les infections sont très rares malgré la présence naturelle de microbes dans les fosses nasales. Le cas échéant, elles justifient un traitement adapté.
Les cicatrices anesthésiques, liées uniquement aux cicatrices externes (quand elles existent) et ne nécessitent presque jamais une réintervention chirurgicale. Les ecchymoses cutanées, bien que rares, elles sont possibles, souvent conséquence de l'attelle nasale. Les plaies ou érosions simples guérissent spontanément sans laisser de traces, contrairement aux nécroses cutanées, qui ne laissent heureusement qu'une petite cicatrice.
Elles peuvent résulter d'un malentendu sur les objectifs ou se produire à cause de phénomènes cicatriciels inhabituels ou de réactions tissulaires inattendues comme une mauvaise réadaptation spontanée de la peau ou une fibrose rétractile. Ces petites imperfections, si elles sont intolérables, peuvent être corrigées par une amélioration chirurgicale finale, en général beaucoup plus simple que la chirurgie initiale, tant du point de vue technique que des suites opératoires. Toutefois, une telle amélioration finale ne peut être réalisée avant plusieurs mois après la première intervention, étant donné la nécessité de travailler sur des tissus stabilisés ayant atteint une bonne maturation cicatricielle.
Les corrections minimales, si elles sont nécessaires, doivent être effectuées au moins un an après l'intervention.
Heureusement, les vraies complications suite à une rhinoplastie sont rares. En pratique, la grande majorité des opérations évoluent sans problème et les patients sont pleinement satisfaits du résultat.
Néanmoins il faut connaître les complications possibles : les saignements, possibles les premières heures mais restent le plus souvent très modérés. Lorsqu'ils sont trop importants cela peut justifier un conditionnement (nouveaux pansements dans les narines).
Les hématomes peuvent nécessiter une évacuation s'ils sont volumineux ou trop douloureux. Les infections sont très rares malgré la présence naturelle de microbes dans les fosses nasales. Le cas échéant, elles justifient un traitement adapté. Les cicatrices anesthésiques, liées uniquement aux cicatrices externes (quand elles existent) et ne nécessitent presque jamais une réintervention chirurgicale.
Les ecchymoses cutanées, bien que rares, elles sont possibles, souvent conséquence de l'attelle nasale. Les plaies ou érosions simples guérissent spontanément sans laisser de traces, contrairement à la nécrose cutanée, qui ne laisse heureusement qu'une petite cicatrice.